TEST 15 JOURS

Trois projets concurrents veulent améliorer la synchronisation des cookies

Pour résoudre les problèmes rencontrés par les éditeurs de contenus propres à la synchronisation des cookies tierce partie (latence des pages, faible taux de matching…), des sociétés adtech veulent mutualiser leurs efforts. Mais les éditeurs s'interrogent face à la multiplication des projets concurrents et craignent que le règlement e-privacy ne les remette en cause dans quelques mois.

Une version complète de cet article avec schémas peut être téléchargée en bas de page.

Par Aymeric Marolleau. Publié le 18 octobre 2017 à 15h58 - Mis à jour le 18 octobre 2017 à 15h58

Pour suivre le parcours des internautes de site en site, les acteurs de la publicité en ligne doivent déposer des cookies tierce partie sur les pages desktop des éditeurs, via leurs bannières publicitaires par exemple.

Graphique 1 – cookie 1st party

Graphique 2 – tracker 3rd party

Source : Clear Code

Mais chaque société adtech utilise son propre référentiel pour qualifier les utilisateurs, ce qui l’oblige à synchroniser son identifiant maison avec tous ses partenaires à l’aide de grandes tables de correspondance, pour les cibler, les segmenter et les mesurer.

Graphique 3 – Cookie syncing

Source : ID5

Résultat, chaque nouvel entrant sur le marché de l’adtech augmente de façon exponentielle le nombre de pixels dans les pages web.…

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