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Pourquoi le marché publicitaire utilise de plus en plus le programmatique garanti

Autrefois réservé à certains formats et aux plateformes publicitaires full stack, l'achat programmatique garanti se généralise à davantage d'acteurs et de cas d'usage. mind Media a interrogé acheteurs, adtechs et éditeurs pour comprendre cette dynamique.

Par Paul Roy. Publié le 19 février 2021 à 10h09 - Mis à jour le 23 février 2021 à 15h56

Depuis quelques années, avec la généralisation de l’achat programmatique, de plus en plus d’acheteurs ont privilégié le programmatique garanti (PG) pour automatiser l’achat en gré à gré d’espaces publicitaires numériques. Ce mode de commercialisation des inventaires permet à l’acheteur d’obtenir via sa plateforme d’achat programmatique un volume garanti d’impression à un CPM fixe sur une plage de temps donnée chez un éditeur. Au départ utilisé par les plateformes full stack qui possédaient à la fois adserver, SSP et DSP comme Google, il se généralise via des intégrations entre adtechs. “On a le meilleur des deux mondes, d’un côté une garantie de CPM, de livraison et donc de revenu pour l’éditeur, et pour l’acheteur une maîtrise des budgets, et la garantie d’un ciblage pertinent via sa DSP”, explique Julien Gardès, head of publisher development EMEA de TripleLift. 

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