TEST 15 JOURS

Les outils de brand safety essaient d’évoluer pour répondre aux critiques

La brand safety fait l'objet de critiques renforcées depuis le début de la crise sanitaire. Ses méthodes vont pourtant au-delà du simple filtrage de mots-clés. mind Media fait le tour des différentes méthodologies. Un tableau comparatif des principaux acteurs sur le marché français complète cet article. 

Par Mégane Gensous. Publié le 19 novembre 2020 à 12h59 - Mis à jour le 20 juillet 2021 à 10h18

Ces dernières années, les annonceurs ont fait de la brand safety leur priorité, suite aux différentes enquêtes ayant révélé la présence de publicités aux côtés de contenus préjudiciables pour leurss marques sur les plateformes. Elle a fait son retour en 2020 parmi les préoccupations du marché publicitaire, cette fois-ci du côté des éditeurs médias.

Dans le contexte de crise sanitaire mondiale et de sa sur-couverture médiatique, les médias d’informations et leurs régies ont fait état d’importantes baisses de revenus publicitaires qu’ils attribuent au blocage de leurs inventaires liés à des contenus médias évoquant, de près ou de loin, la pandémie de Covid-19 (lire notre premier dossier sur le sujet). 

 

Les limites de la brand safety 

 

Bruno Latapie, directeur exécutif monétisation de 20 Minutes, observe ainsi “jusqu’à 50 % de nos inventaires coupés par les sous-régies en raison de la brand safety” – bien qu’il date le début de son constat antérieurement au premier confinement. En cause : des listes trop longues de mots-clés trop génériques, qui excluent ainsi une grosse voire majeure partie des articles des éditeurs médias des contextes de diffusion des campagnes publicitaires.…

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